ArTizQ

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AC 

Quand j'étais un jeune homme,
J'ai eu la liberté, mais je ne la voyais pas.
J'avais le temps, mais je ne le savais pas.
Et j'ai reçut de l'amour, mais je ne le sentais pas.
 
Plusieurs décennies passeront avant que je comprenne le sens de ces choses là.
Et maintenant, au crépuscule de ma vie, cette compréhension est passée dans le contentement.
 
L'amour, la liberté et le temps, autrefois si disponible, sont les carburants qui me font aujourd'hui avancer.
 
Et l'amour surtout ... caro mio.
Pour vous, nos enfants, nos frères et sœurs.
Pour le vaste et merveilleux monde qui nous a donné la vie, et nous permet d'avancer.
Affection sans fin, mia Sofia.
 
À toi pour toujours.
 
Ezio Auditore

† Infos † 

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Favorite genre

Psychological   ♦  Drama   ♦  Cyberpunk   ♦  Sci fi   ♦  Post-apocalyptic   ♦  Thriller   ♦  Dystopia

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Favorite Anime:

Clannad After Story   -  Steins:Gate   -  Shingeki no Kyojin   -   Nana   -   Zankyou No Terror   -  Fate/Zero - Fate Stay Night   -    Psycho-Pass   -   Death Note   -   Terra Formars   -  Parasyte-The Maxim   -   Ano Hi Mita Ana   -   Naruto Shippuuden   -  Noragami   -  Code:Geass   -   Requiem for a Phamtom   -   Darker than black

Best OP/ED

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Finally, I'm Alex, I'm 20, I love playing basketball and I started watching animes in 01/27/2014

Je m’efface en l’attente

Sensation si étrange, je me vois disparaître,
Invisible comme l’ange, sans sa joie, sans mon être.
Il n’y a plus la vie, on m’enlève mon combat,
Le futur s’assombrit, oui je crève loin de moi.

Et l’on a pris mes armes, dois-je attendre jugement,
Qui condamnera l’âme, à s’éteindre pour longtemps ?
Restera-t-il des braises, en dessous de mes cendres,
C’est au bord des falaises, que l’on ose se descendre.

Car ici c’est l’argent, qui est roi des justices,
Je ne chante plus ce chant, qui attise les supplices;
Sur ces autres qu’on ignore, comme chacun d’entre nous,
Nous n’avons qu’un seul tort, celui d’être à genoux.

Consommant son prochain, se consume en nous même,
L’espérance d’un destin, sans l’enclume des peines.
Marteau de l’ignorance, vient enfoncer le clou,
De nos fausses connaissances, qui nous rendent aussi fous.

Fous de croire que l’on est, plus important que lui,
Lui qui marche à côté, que l’on croise dans la nuit.
Nuit qui gagne nos cœurs, sur l’ardoise de nos vies,
Où s’efface l’ardeur, d’y laisser notre écrit.

~~~ ArTizQ ~~~

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